Zoom sur le stress et ses répercussions
Mieux comprendre les mécanismes du stress
Le stress
Selon l’OMS, le stress fait partie des risques sanitaires majeurs du 21e siècle. Les risques pour la santé sont maintenant connus depuis des décennies.
Les types de stress et les réactions face à lui sont différentes selon les individus en fonction de leur prédispositions, leurs constitution, leur hérédité, leurs antécédents… Cependant, il n’y a aucune fatalité!
Dans ma pratique, je reçois énormément de personnes souffrant de stress, à différents niveaux. A l’aide de mon outil de travail principal, la caméra GDV Bio-Well, il est possible de mesurer précisément le taux de stress et de voir visuellement l’impact de celui-ci sur les différents systèmes et organes d’un point de vue énergétique (qui précède le plan physique).
Avec certaines techniques choisies sur-mesure, un taux de stress peut chuter drastiquement, malgré des prédispositions de base. Parfois, bien sûr, certaines personnes peuvent avoir besoin de recourir à une prise en charge psychothérapeutique. Mais dans la majorité des cas, il est tout à fait possible de limiter le stress et ses effets, et surtout de se laisser envahir à nouveau par celui-ci au quotidien.
Les principales causes de stress
- Surdose d'informations
- Agitation
- Sollicitation excessive des sens
- Charge mentale
- Pression des délais
- Charge de travail excessive
- Exigences extérieures croissantes
- Niveau d'exigence envers soi-même trop élevé
- Conflits relationnels et familiaux
- Problèmes financiers ou de santé
- Choix ou obligations de vie en désaccord avec vos aspirations profondes et leurs valeurs
- Changements dans tous les domaines de la vie...
Toutes ces situations de contrainte et de sur-sollicitation répétitives mènent à une difficulté d’adaptation. En effet, le stress n’est pas une maladie mais une réponse adaptative du corps à ces contraintes extérieures, une réaction de compromis nécessaire à l’adaptation. Il apparait quand la contrainte extérieure dépasse la capacité adaptative de l’individu.
Il est tout à fait possible de renforcer cette capacité d’adaptation, en l’entrainant comme un muscle.
Les réactions du corps sous l'impact du stress
Sous stress, l’équilibre entre tension et détente ne se fait plus. On peut observer trois phases graduelles: la phase d’alarme (activation du système sympathique à la demande de l’hypothalamus, sécrétion hormonale -noradrénaline, adrénaline, cortisol, dopamine, sérotonine…)-, augmentation de la glycémie pour mettre les muscles en réaction de combat ou fuite…), la phase de résistance (risque de pathologies inflammatoires chroniques) et enfin la phase d’épuisement avec perte de la capacité adaptative.
Les hormones du stress ne sont pas forcément « négatives ». Si elles sont libérées de manière ponctuelle et limitée dans le temps, elles nous permettent de réagir de façon adaptée face à une situation. Si cette libération est continue, jour après jour, les effets du stress sur le corps deviennent très marqués et dégradent votre santé globale.
Un stress persistant peut à terme générer des troubles psychologiques et physiques: tension émotionnelle, fatigue physique et/ou intellectuelle, dépression, anxiété, surmenage, inflammations chroniques, douleurs, dysfonctionnements des systèmes digestif / endocrinien / immunitaire… Le stress rend donc plus vulnérable aux maladies.
Il est possible de « pronostiquer » quels organes ou systèmes risquent d’être impactés en premier si on ne remédie pas à la situation, en analysant la système énergétique avec la caméra GDV Bio-Well. En effet, le système énergétique vient en amont du plan purement physique.
Le processus de l'apparition des troubles psychosomatiques
Pour expliquer à mes clients comment pensées et émotions négatives impactent à terme le fonctionnement du corps physique, j’ai souvent recours à cette explication (inspirée du déroulé du modèle de Brooke Castillo en l’adaptant à ma pratique).
Mon domaine d’intervention est de vous accompagner pour éviter d’en arriver à l’impact physique, en agissant sur les phases pensées, émotions et énergétique.
1) Circonstances
Vous vivez des événements plus ou moins intenses et des échanges de différentes natures dans votre quotidien.
A la base, ils sont neutres émotionnellement et purement factuels.
Ils peuvent cependant être générateurs de stress en demandant un trop gros effort d’adaptation.
2) Pensées
Ces circonstances vont systématiquement générer des pensées en vous.
Ces pensées peuvent même devenir des croyances -avérées ou fausses!- lorsqu’elles sont répétitives et envahissantes.
Vous connaissez le « petit vélo » qui se met en route dans votre tête, et qui même parfois vous empêche de trouver le sommeil?
C’est l’étape clé sur laquelle agir en amont pour éviter la suite…
3) Émotions
Vos pensées génèrent des émotions, souvent à ressentis négatifs.
Les émotions n’arrivent jamais directement après une circonstance mais systématiquement après le filtre de la pensée. Mais elles auto-entretiennent aussi des pensées, un vrai cercle vicieux!
Elles sont à considérer comme des messages d’alarme voire de véritables guides nous avertissant qu’il faut mener une action d’adaptation.
4) Énergétique
Les émotions ont un impact direct sur votre système énergétique en perturbant son bon fonctionnement.
En intervenant sur les émotions on modifie complètement l’impact sur le système énergétique. Plus encore, en guidant la personne sur comment modifier ses pensées pour éviter le « package d’émotions négatives » qui va avec, on court-circuite directement l’impact négatif sur les aspects énergétiques et physiques.
5) Physique
Si vous n’agissez pas en amont sur votre système de pensée, les émotions qui en découlent et votre système énergétique, certains de vos organes peuvent venir à défaillir de manière « diagnosticable »: d’abord sur un plan fonctionnel, puis lésionnel (kystes, ulcères, cancers…).
Une maladie est souvent le résultat du déroulé de tout ce processus: les organes « maillons faibles » identifiés dans la phase énergétique ont plus de risques d’être touchés en premier.
L'impact des émotions sur le système énergétique
Avec la caméra GDV Bio-Well nous pouvons observer l’impact émotionnel sur le système énergétique en prenant des mesures avec et sans la couche émotionnelle (à l’aide d’un filtre sur la lentille): nous voyons à l’écran où et comment le corps manifeste l’impact émotionnel en analysant l’énergie photonique.
Les prénoms ont été changés pour les exemples.
L'exemple d'Éline
Champs d'énergie AVEC la couche émotionnelle
Champs d'énergie SANS la couche émotionnelle
Déséquilibres énergétiques du système nerveux autonome AVEC la couche émotionnelle
Déséquilibres énergétiques du système nerveux autonome SANS la couche émotionnelle
L'exemple de Nathalie, après un choc émotionnel
Champs d'énergie AVEC la couche émotionnelle
Champs d'énergie SANS la couche émotionnelle
Déséquilibres énergétiques du système nerveux autonome AVEC la couche émotionnelle
Déséquilibres énergétiques du système nerveux autonome SANS la couche émotionnelle
L'exemple de Monique
Champs d'énergie AVEC la couche émotionnelle
Champs d'énergie SANS la couche émotionnelle
Stress, énergie, équilibre, déséquilibre des organes AVEC et SANS couche émotionnelle
Orange = avec émotions; Violet = sans émotions
L'exemple de Bertrand
Champs d'énergie AVEC la couche émotionnelle
Champs d'énergie SANS la couche émotionnelle
L'exemple de Ludivine
Champs d'énergie AVEC la couche émotionnelle, impact émotionnel sur les zones génito-urinaire et glandes mammaires / système respiratoire
Champs d'énergie SANS la couche émotionnelle, pas de jaillissements d'énergie majeurs dans les zones génito-urinaire et glandes mammaires / système respiratoire
